Nadow est un sans emploi qui vit de petites rapines et autres magouilles que la morale réprouve. Un jour, alors qu'il est enfin décidé à trouver un vrai job, il se retrouve impliqué dans un trafic de drogue pour lequel il devient une mule (pas l'animal, hein...Le passeur de drogue #humour). Lors d'une de ses missions, il monte dans le taxi de Hui, un ancien businessman dont la seule richesse est aujourd'hui la voiture qu'il conduit et que personne ne veut emprunter. Ces deux pas vraiment lascars entament un périple vers le sud durant lequel ils vont peu dormir, puisqu'ils éprouveront leur toute nouvelle relation en affrontant des gangsters évidemment rivaux et corrompus jusqu'à la moelle.
Je ne sais pas comment épeler son nom mais ce réalisateur est absolument fascinant. Je n’ai vu que 2 de ses films (Soul et Godspeed), je n’arrive pas à trouver les précédents, mais ces deux-là étaient des chefs d’oeuvres. Celui-ci, à mon avis, est une réponse au Only God Forgives de Nicholas W. Refn...{...} NDLR: critique complète en anglais.
If you combine Hirokazu Kore-eda, Quentin Tarantino, Kar-Wai Wong, and the Brothers Coen you would not get GODSPEED. Parallels are not influences. GODSPEED director and cinematographer (as Nagao Nakashima) Mong-Hong Chung may well not consider any of the above as influences. I mention this handful of directors because in viewing GODSPEED for the second time I saw parallels to their work and that of many other noted directors. GODSPEED is a smorgasbord. I have already begun watching it for a third time. If I do not finish today, I will finish sometime soon. It's like that. Happy Hunting.
{...} Filmed in beautiful widescreen with rich, sunburnt colors, Godspeed often shrinks its characters in the frame, as it places them within larger situations that are beyond the scope of their control. Chung's odd tone may not sit well with viewers who don't know what they're getting themselves into, but those that can settle into the film's alternating moods will discover a uniquely rewarding work filled with a charming sense of humor and pensive ache for the past.
Lire la critique complète de Pierce Conran sur Screen Anarchy
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