Hiroshi vit dans une banlieue de Tokyo avec ses parents et son jeune frère. Un soir, à son retour de l’école, il s’enferme dans sa chambre et, pendant deux ans, refusera d’en sortir et d’y laisser entrer qui que ce soit.
L’enfermement prochain d’Hiroshi est inévitable. Laurence Thrush le met en scène dans des lieux oppressants et la caméra désaxée ne le filme jamais sans qu’il n’y ait la symbolique d’un malaise, d’une souffrance psychique.
De façon très pertinente, le bruit, à l’image et au son, joue ici un rôle primordial et fait partie intégrante de la mise en scène.
Lire la critique complète de Marianne Renaud sur à voir à lire
Laurence Thrush, même dans la plus grande sophistication, semble presque toujours trouver au bon moment la bonne « note » que doit avoir son plan, et la juste pudeur à conserver, gage d’une sensibilité certaine.
Lire la critique complète de Guillaume Bryon sur Culturopoing
Du film émane le charme évident et immédiat de la rencontre entre une forme et son sujet.
Les documentaristes sont-ils les meilleurs réalisateurs de fiction ?
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